2010 World Blitz Championship
2010 World Blitz Championship : V. Kramnik – H. Nakamura
2010 World Blitz Championship : L. Aronian – Teimour Radjabov
2010 World Blitz Championship : M. Vachier-Lagrave – L. Aronian
2010 World Blitz Championship : A. Grischuk – S. Mamedyarov
2010 World Blitz Championship : P. Svidler – B. Gelfand
2010 World Blitz Championship : V. Kramnik – H. Nakamura
2010 World Blitz Championship : H. Nakamura – M. Carlsen
2010 World Blitz Championship : H. Nakamura – D. Andreikin
2010 World Blitz Championship : F. Caruana vs M. Carlsen
2010 World Blitz Championship : M. Vachier-Lagrave – D. Andreikin
Levon Aronian crushes Hikaru Nakamura in a decisive game
2010 World Blitz Women Championship
2010 : Kosteniuk – Tatiana Kosintseva
2010 : Kosteniuk – Nadezhda Kosintseva (1)
2010 : Kosteniuk – Nadezhda Kosintseva (2)
2010 : A. Stefanova – A. Kosteniuk
2010 : I. Gaponenko – A. Kosteniuk
2010 : A. Kosteniuk – Marie Sebag
2010 : Mariya Muzychuk – A. Kosteniuk
2010 : V. Nebolsina – A. Kosteniuk
2010 : T. Kosintseva – N. Kosintseva
2010 : A. Kosteniuk – V. Gunina
Incident on Women’s World Chess Blitz Championship
Karpov – Mamedyarov Wch blitz 2007
Karpov – Kramnik (World Blitz Championship 2009)
Kramnik-Grischuk
Carlsen-Nepomniachtchi
Carlsen-Caruana
Carlsen-Savchenko
Aronian-Carlsen
Kramnik-Nakamura
Vachier Lagrave-Caruana
Karpov – Carlsen (r)
Carlsen – Karjakin Blitz (r)
Magnus Carlsen WCh blitz 2009 chess
Anand-Koneru vs. Kramnik-Kosintseva
Vishy Anand Vs. Garry Kasparov – Blitz Chess Final Game ..omg
2009 World Blitz Championship : Anand – Kosteniuk
Kramnik-Grischuk
Aronian-Savchenko
Magnus Carlsen playing 1 min vs 9 min
Tie-Break Magnus Carlsen against Alexander Onischuk
Carlsen’s Mistake 2009 (r)
Viswanathan Anand vs Magnus Carlsen – Ruy Lopez – 2011 Amber Tournament
Carlsen-Caruana
Magnus Carslen
Magnus Carlsen 30 second chess match
Carlsen – Fressinet : Too weak, too slow!
Internationaux de Paris 2012
Les internationaux de blitz de Paris 2012, remportés par Laurent Fressinet. De très belles parties, très rapides évidemment, le spectacle était au rendez vous, dans une ambiance toujours feutrée.
Fressinet – Feller
Ici, Laurent Fressinet remporte son match face à Sébastien Feller, vainqueur de l’édition 2010.
Guliyev – David
Namir Guliyev se fait ici « cueillir » en finale face à Alberto David, un spécialiste de la spécialité (vainqueur de l’édition en 2007).
On voit qu’Alberto David contrôle très bien le pion passé sur la colonne « a », et les éventuelles rentrées de la tour. Puis il a l’occasion de placer un sacrifice gagnant, en prenant le fou noir avec sa tour, puisque son fou va ensuite récupérer gratuitement la tour adverse, placée sur la diagonale blanche accessible au fou, en même temps que son roi. Il reste à empêcher l’avancée du pion noir vers la promotion, et à conserver ses pions pour pouvoir en amener un à dame, avec l’aide du fou. Le fou réussit à gagner le temps escompté pour l’arrivée le roi, et finalement, capturant un des derniers remparts, créer un pion passé.
Fressinet – Fedorchuk
Laurent Fressinet face à Sergei Fedorchuk, un excellent joueur.
Une menace latente, un échec à la découverte suivi d’une menace de prise et d’une promotion en simultanée, va avoir raison de la position blanche. Un oubli fugace, sur lequel Laurent Fressinet ne peut que se précipiter, et ainsi sacrifier sa dame sans risque.
Tour folle
Un exemple de tour folle.
Jonathan Dourerassou avait une partie complètement gagnée, encore fallait-il concrétiser la position. En avançant son pion de cette manière, le roi blanc n’avait plus aucune case à laquelle accéder. Le signal « envoyé » à sa tour devenait clair, se sacrifier, ou faire échec à chaque coup, en se collant au roi noir. Le roi n’ayant pas de cachette sur l’échiquier pour trouver une meilleure solution, le résultat fut match nul.
Blitz
Quelles sont les petites remarques qu’on pourrait se permettre, par rapport à cette partie ?
Réponse : Sur le plan du jeu, le joueur ayant les blancs peut interposer sa dame en ç5 un peu avant, forçant ainsi l’échange des dames, et s’assurant d’en faire une nouvelle, puisque son pion passé est inarrêtable.
Une fois la nouvelle dame placée sur l’échiquier, il était simple d’interdire l’avancée du pion noir et également la future aide du roi, pour tenter de l’avancer, sans avoir à manoeuvrer : en jouant Da2, puis Db2, le pion aurait été totalement bloqué.
Au niveau de l’arbitrage, le joueur qui a remporté la partie a laissé un pion adverse qu’il avait pris sur l’échiquier, puis il a appuyé sur la pendule, rendant le coup non valide.
Lorsque l’autre joueur joue un coup interdit, juste avant que les joueurs ne se serrent la main, il a effectivement lâché sa pièce et mis son roi en échec, mais il n’a pas encore appuyé sur la pendule. Il a donc le droit, dit le règlement, de reprendre son dernier coup, pour jouer son roi sur une case valide, puis d’appuyer. Mais ce réflexe est très fréquent, en blitz, et beaucoup de joueurs réclament un coup illégal dès que la pièce est lâchée. Et suite à la surprise occasionnée, peu de joueurs ont le réflexe de penser que la partie peut continuer après un coup qui va être déclaré illégal, parce qu’ils n’ont pas encore appuyé sur la pendule.