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« Tu es un joueur d’échecs, si… » est un groupe facebook auquel vous pouvez adhérer si vous voulez, en cliquant sur le lien.
Vous vous reconnaissez… ?
Tu joues depuis moins de 2 mois aux échecs, et tu es déjà une star : pour preuve, on te sélectionne déjà en nationale, et tu fais plus de 300 kilomètres le dimanche, pour perdre ta partie en plus ou moins 10 coups.
Tu joues avec un grand chapeau mexicain, ce qui fait un peu d’ombre à ton adversaire.
Tu as félicité la petite fille qui venait de te battre, même si c’était un garçon.
Tu es tombé de ta chaise en voulant t’étirer.
Tes adversaires se méfient que tu aides tes coéquipiers, car tu viens de suivre une formation pour apprendre le langage des signes.
Tu as déjà attendu plus de 20 minutes que l’autre joue, alors que c’était à toi de jouer (ou l’inverse).
Au premier open de 300 joueurs auquel tu participes, tu as trouvé au moins 3 filles mignonnes et dans ton age. Le seul bémol, c’est que les 280 autres mecs du tournoi ont fait le même constat…
Tu t’es fait virer au travail parce que tu t’es fait « pécho » à blitzer sur internet.
Tu voterais pour Garry Kasparov, si tu étais Russe.
Tes adversaires te font des techniques bizarres : tu t’es pris le coup du berger allemand, celui de la cuillère, ou encore le mat de l’ascenseur… Pas de chance !
Ton entraîneur a fait la tête, la première fois que tu l’as battu.
Pour inverser le roi et la tour, tu croques !
La seule fille potable du club, ben c’est ta soeur…
Tu as annoncé à ton adversaire : « Je crois que vous êtes mat, mon cher ami ». Mais il ne l’était pas, et finalement, c’est toi qui as perdu…
Tu as deux licences aux échecs, à deux noms et à deux dates de naissances différentes. C’est vrai que c’est mieux, pour remporter le prix par catégorie.
Pour faire un joli mat, tu as fait « promotion cavalier, mat », mais ça ne marchait pas. Alors tu as bien dû ramer pour la gagner, ta finale de cavaliers…
Tu as rasé la moitié de ta barbe d’un côté, et la moitié de ta moustache de l’autre, le dernier jour d’un tournoi.
Tu as voulu faire mat avec ton roi en l’approchant du roi adverse, pour être le premier à réussir à le faire, et ainsi rentrer dans l’histoire.
Tu as soudoyé un gamin de 10 ans classé 1100 elo pour améliorer tes chances de gagner.
Tu commences une partie à l’aveugle, et tu es complètement gagnant au bout de 10 coups. Tu finis la partie devant l’échiquier, en regardant le jeu cette fois, et tu te fais ramasser 5 coups plus tard !
Tu songes à commander une licence d’échecs à ton chat qui s’appelle Jean Paul.
Tu es roumain, et tu viens jouer un tournoi en France. Mais en cherchant l’hébergement, tu vas finalement te perdre, et demander ton chemin dans un hôpital psychiatrique. Heureusement, les organisateurs sont là pour venir te délivrer !
Tu es une fille, et tu as un moyen imparable pour gagner un prix : il te suffit de s’inscrire !
Tu te fais regarder bizarrement par les gens quand tu analyses ta partie à l’aveugle avec tes copains à 9 ans, en faisant la queue au self.
Tu as lu « Et pourquoi pas Evans » d’Agatha Christie en espérant comprendre quelque chose au gambit.
Tu as raté ton bac à cause des échecs. Ca arrive.
À table, tu déplaces le sel comme un cavalier quand tu manges sur une nappe à carreaux.
Ta vie est une longue suite d’échecs.
Tu trouves normal que les échecs soit un sport, surtout quand tu gagnes le combiné fléchettes-tarot-scrabble au tournoi d’Avoine.
Tu n’oses pas draguer la féminine de l’équipe, parce que son père joue aussi dedans.
Tu t’es senti bête la première fois que tu as fais pat.
Tu voudrais bien gagner un prix une fois dans ta vie, alors tu songes à te faire opérer, et teindre en blonde…
Dans un tournoi réservé aux joueurs d’échecs, tu peux toujours jouer au football sans aucun complexe. Oui, même avec des allemands (en short)…
Tu as déjà avancé un pion de 3 cases.
Tu as joué deux coups de suite, bien que tu sois arbitre international(e).
Tu connais tous les champions du monde d’échecs, même Kazimdzhanov, ce qui t’aide beaucoup dans la vie, par exemple à trouver une copine et un job.
D’ailleurs à 28 ans, tu es toujours puceau.
Tu ne sais toujours pas régler une pendule Fischer, arbitre ou pas.
Tu t’es fait enlever par les extraterrestres.
Tu as déjà fait plusieurs séjours en hôpital psychiatrique ou de la prison, pour détournement de fonds ou de mineure.
Tu ne sais pas combien de fois la petite aiguille fait le tour du cadran en 24 heures à l’émission « Le mur » de Benjamin Castaldi.
Tu as déjà frappé ton adversaire qui te disait « pièce touchée, pièce à jouer ». Après quoi, il s’est sagement ravisé…
Au moment de jouer le coup gagnant, entièrement préparé avant la partie, tu te trompes de fou et tu déplaces en fait l’autre fou, à la case où le premier devait aller. Voulant voir le beau résultat sur l’écran géant, tu t’aperçois qu’alors il y a 64 fous qui apparaissent, et qui clignotent… Tu prends alors vite conscience qu’il y a un peu… comme un bug !
Tu aimerais bien gagner autant d’argent en 9 rondes acharnées contre des grands maîtres dans un open international d’échecs qu’au WPT en une seule soirée. (contre des noobs, en plus).
Tu dis « Tic, tac, toc » à ton adversaire, en calculant les coups d’une variante.
Tu appelles ton chien « Alapine », et quand tu joues avec lui, tu dis : « Fais pas mal, fais pas mal ».
Tu vas faire un tournoi en Roumanie, et on se fiche de toi à ton retour, parce que tu es le premier Français qui avoue qu’il y a perdu des points elo.
Pour mater avec deux tours, tes élèves utilisent soit le coup de l’échelle, soit celui de l’ascenseur…
Ou celui de la cuiller, aussi, très efficace pour gagner une pièce avec son cavalier.
Tu as la chance de te rendre à Cannes, pour jouer Nationale 1 jeunes. Mais tu joues jusqu’au soir, et du coup, tes parents profitent un peu plus que toi de la piscine.
Ton adversaire trouve étrange que tu captures ta propre tour avec ta propre dame (en Top 16).
Tu appuies plusieurs fois sur la pendule de l’échiquier à côté en pensant que c’était la tienne.
Tu continues d’appuyer sur la pendule à l’analyse.
Tu t’es trompé de place en revenant t’asseoir à ton échiquier, et pire, tu as joué un coup à la place d’un autre joueur, comme si c’était ta partie.
Tu as abandonné alors que tu avais mat en un.
Ton pseudo sur meetic est fritz64.
Et tu dragues rybka69… (elle est beeelle !).
Tu as déjà passé des heures à te préparer avec les noirs, alors que tout le monde sait que tu as les blancs pour cette partie depuis le début de l’année.
Tu as frappé un joueur aveugle !
En 1987 aux olympiades, tu as joué la partie du siècle ! (Indicible).
Tu es capable de mettre quelques noms sur la plupart des anecdotes que tu viens de lire.
Tu connais des anecdotes bien pires sur tes amis, mais tu ne les diras pas, pour ne pas les compromettre.
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