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Les logiciels d’échecs
Au niveau du jeu face aux ordinateurs, peu d’humains sont capables de rivaliser avec les meilleurs logiciels. Ils sont souvent très bien programmés, d’une part, et ils sont en plus aidés par la puissance et par la fréquence de calcul des processeurs. Pour ne rien laisser au hasard, ils ont aussi parfois des répertoires d’ouvertures, les meilleurs coups de chaque ouverture préenregistrés, ainsi que les fins de partie dès qu’il ne reste plus beaucoup de pièces dans leur mémoire.
Avec un logiciel, vous pouvez tout de même jouer et gagner contre certains programmes, ou en réduisant la force si besoin et en la réaugmentant ensuite, pour tester vos progrès.
L’avantage d’un ordinateur, c’est qu’il n’a pas de compte à rendre, finalement, et vous pouvez lui lancer un défi quand il vous plaît, il ne le refusera vraisemblablement pas. Et il ne vous fera absolument aucune remarque, vous pouvez vous entrainer avec lui comme vous voulez, vous préparer dans le secret pour un tournoi en particulier, reprendre vos coups à volonté, tester un début et une ouverture, et bien sûr, analyser vos parties avec lui.
Le seul « risque » du jeu avec la machine, dans un sens, c’est qu’il peut vous décourager s’il est trop fort (donc pensez toujours à prérégler son niveau), et si vous n’alternez pas avec des adversaires en chair et en os, vous ennuyer.
Toutefois, ne jouez pas contre un ordinateur en vous disant qu’il est trop fort pour vous, et même si vous ne gagnez pas, vous pouvez au début observer la manière dont il s’apprête à gagner. Mais dans l’ensemble, vous devez aborder chaque nouvelle partie avec l’idée que vous pouvez gagner, c’est une remarque essentielle à ce jeu.
Vous pouvez l’envisager comme un « sparring partner » pour vos futurs matchs avec les humains, qui resteront toujours plus intéressants à disputer, logiquement.
Vous le verrez dans le chapitre « Interviews », c’est vrai que très peu de gens prennent du plaisir à jouer contre un ordinateur, c’est tout à fait logique.
Donc malgré tout, si le logiciel est bien fait, vous pouvez « baisser son niveau », pour rendre le match intéressant.
Jouez toujours au niveau qui vous correspond : ni top fort, ni trop faible. Pensez toujours à prendre un mode d’emploi avec vous en même temps que vous testez quelque chose de nouveau.
Le bon niveau à programmer, pour un logiciel d’échecs, est celui où vous gagnerez si vous jouez bien, et où vous perdez si vous jouez mal. Ne jouez que si vous êtes concentrés. Si vous ne l’êtes pas, aucun souci, mais faites autre chose que des échecs pendant votre après midi, et revenez un peu plus tard !
Et ne vous lancez pas dans une série de matchs sans espoir contre un ordinateur, et préférez toujours jouer en bonne compagnie, car les ordinateurs pourraient vous démotiver.
Il existe aussi des modes spéciaux à présent, présents chez les meilleurs logiciels, qui donnent un « caractère virtuel » ou une « attitude » à la machine : des niveaux où l’ordinateur échange systématiquement les pièces, par exemple, qui ne font qu’attaquer ou que défendre, ainsi que d’autres qui ne respectent pas les principes du jeu en connaissance de cause… d’autres qui jouent totalement au hasard… ou d’autres exemples, très similaires au jeu d’un bon joueur d’échecs, mais commettant certaines imprécisions « humaines ». Tout existe, en fait, il suffit simplement de trouver le bon mode et de le tester avec le bon logiciel.
Lecteur de parties au format PGN :
Chessbase : http://chessbase-reader.software.informer.com